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« Qu’est-ce que cette statue intouchable qu’on appelle la démocratie ? Comment fonctionne-t-elle ? Pour quel profit ? Comment les gens peuvent-ils accepter de jouer avec des règles truquées ? Que se passerait-il s’ils en prenaient soudain conscience ? ». A l’aune d’un scrutin déterminant pour la France, les interrogations de l’écrivain portugais José Saramago – prix Nobel de littérature – trouvent une résonance particulière. Alors que le ras-le-bol électoral est devenu la première force politique du pays, « Prendre le risque de la démocratie » apporte une réponse au vitriol. Les arguments sont concrets et documentés. Ils résultent d’un retour d’expérience et d’anecdotes vécues pendant 10 ans au cœur de la machine électorale française. Ils s’appuient notamment sur des faits d’actualités avérés et largement relayés par la presse.
A travers son récit, Stéphane Guyot passe au scalpel l’état de la démocratie représentative, décortique avec humour ses insuffisances et propose une analyse objective sur l’origine de ses dysfonctionnements. Il replace le quinquennat d’Emmanuel Macron dans un contexte plus général de pratiques répétées depuis plus de 30 ans et dépeint avec ironie les liens d’inter-dépendance entre pouvoir politique et médiatique. Son but n’est pas de diffamer mais d’informer le lecteur qui est aussi, et avant tout, un électeur.
Fondateur de l’association Parti du Vote Blanc, Stéphane Guyot est considéré comme l’expert apolitique sur les questions de vote blanc et d’abstention. Il livre ici un vibrant plaidoyer en faveur d’une citoyenneté active et défend son credo avec passion : rendre le citoyen acteur de son destin.
A travers cet éclairage utile et impertinent, « Prendre le risque de la démocratie » propose un mode d’emploi indispensable à la bonne compréhension des enjeux de 2022. A lire absolument avant de mettre votre bulletin dans l’urne !
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